Elle était ma professeure, celle qui m’avait recalé… puis un jour, elle m’a appelé et a dit : « Viens dans mon bureau pour des points supplémentaires… » – Recette
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Elle était ma professeure, celle qui m’avait recalé… puis un jour, elle m’a appelé et a dit : « Viens dans mon bureau pour des points supplémentaires… »

Elle était ma professeure, celle qui m’avait recalé… puis elle m’a appelée et a dit :
« Viens dans mon bureau pour des points supplémentaires… »

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Tout a commencé un de ces vendredis mornes de fin d’automne, quand le campus semblait vidé de toute énergie. Les notes finales venaient de tomber, et sur mon relevé brillait une lettre infamante : un “F”. Cette marque de l’échec me collait à la peau, comme une tache impossible à effacer.
Alors que je faisais défiler distraitement mon téléphone, vautré sur le canapé, un mail apparut : Expéditeur : Dr Evelyn Reed, ma professeure de littérature moderniste.
Objet : Mon prénom.
Le message, lui, ne contenait que trois mots : Appelle-moi au bureau.

C’était la dernière chose dont j’avais envie. Après tout, c’était elle qui m’avait fait échouer.
Mais la curiosité — ou peut-être la culpabilité — l’emporta.
Une heure plus tard, je marchais vers son bureau, dans l’ancien bâtiment des lettres, ce lieu froid et silencieux, presque désert à la tombée du soir.
Je frappai à sa lourde porte en chêne, m’attendant à recevoir une leçon sur mes lacunes.

Mais la femme qui m’ouvrit n’avait rien de la professeure intimidante que je connaissais. Elle paraissait fatiguée, presque vulnérable. Son pull était simple, ses cheveux un peu défaits, ses lunettes posées négligemment sur sa tête.

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