Merci au piano qui lui avait tendu la main. Merci à la musique qui lui avait sauvé la vie. Merci à tous ceux qui l’avaient aidée.
Puis elle rentra chez elle, l’esprit déjà plein de nouvelles mélodies, de nouveaux projets, de nouvelles façons d’offrir l’espoir au prochain jeune musicien en détresse.
Car Maya Chen avait appris la leçon essentielle : le talent est un don. Mais l’offrir aux autres, voilà ce qui donne sens à la vie. La fille qui jouait autrefois pour son repas était devenue une femme qui joue pour l’âme.
Et son histoire ne faisait que commencer.
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