Le mari ramène sa maîtresse à la maison et hurle à sa femme : « Tu ne mérites pas de vivre dans cette villa ! »… Quelques minutes plus tard, elle sort les papiers de propriété, laissant toute la famille sous le choc… – Page 2 – Recette
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Le mari ramène sa maîtresse à la maison et hurle à sa femme : « Tu ne mérites pas de vivre dans cette villa ! »… Quelques minutes plus tard, elle sort les papiers de propriété, laissant toute la famille sous le choc…

— La prochaine fois que tu auras envie de me dire que je ne mérite pas de vivre ici, souviens-toi de ceci : *tu es un invité dans ma villa.* Et les invités qui manquent de respect à la propriétaire ne sont pas les bienvenus.

Le visage de Richard se contracta sous l’effet de la fureur, mais en dessous, on lisait une peur évidente. Il avait toujours contrôlé le récit, toujours eu le dessus. Mais à cet instant, le rapport de force venait de basculer complètement.

Un silence lourd tomba dans la pièce, seulement brisé par le cliquetis des talons de Vanessa qui se dirigeait maladroitement vers la porte.

— Je ne reste pas ici, souffla-t-elle sans oser regarder Richard.

Ainsi, la forteresse d’arrogance que Richard avait construite autour de lui commença à s’effondrer.

Le silence après le départ de Vanessa était assourdissant. Richard resta assis à la table de la salle à manger, fixant les documents comme s’il avait des armes pointées sur la poitrine. Pour la première fois depuis des années, Emily ne le voyait plus comme la figure imposante qu’il s’efforçait d’être, mais comme un homme à nu : faible, désespéré, acculé.

Emily rompit enfin le silence.

— Tu vas devoir faire tes valises, Richard.

Il releva la tête d’un coup.

— Tu es en train de me mettre à la porte ? Après tout ce que j’ai fait pour cette famille ?

Michael laissa échapper un rire amer.

— Et qu’est-ce que tu as apporté, au juste, papa ? Du stress ? Des hurlements ? De la trahison ? C’est maman qui nous a donné ce foyer. Toi, tu as failli tout détruire.

Les traits de Richard se durcirent, mais il ne répondit pas. Au fond de lui, il savait que Michael avait raison.

La voix d’Emily se fit un peu plus douce, sans que sa détermination ne vacille.

— Richard, je t’ai laissé des chances, encore et encore. J’ai fermé les yeux quand tu rentrais tard, j’ai supporté ton caractère, je me suis tue quand j’ai commencé à soupçonner tes aventures. Mais ça… ramener une autre femme dans notre maison et me dire que je ne mérite pas d’y vivre, c’était la goutte de trop. Je ne te laisserai plus jamais me manquer de respect.

Richard repoussa sa chaise, les pieds raclant le parquet.

— Où veux-tu que j’aille ? demanda-t-il, la voix plus basse, presque suppliante.

— Ce n’est pas mon problème, répondit Emily calmement. Tu as fait tes choix. Maintenant, tu en assumes les conséquences.

Michael croisa les bras, se plaçant aux côtés de sa mère.

— Si tu tiens vraiment à cette famille, tu partiras sans faire d’histoires. Sinon, on règlera tout ça devant un juge.

Pendant un long moment, Richard les regarda : sa femme, qui venait de briser son orgueil avec une vérité incontestable, et son fils, qui n’avait plus peur de lui. Puis, dans un soupir lourd, il murmura :

— D’accord.

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