Son père l’a donnée en mariage à un mendiant parce qu’elle était née aveugle — la suite a laissé tout le monde sans voix. – Page 2 – Recette
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Son père l’a donnée en mariage à un mendiant parce qu’elle était née aveugle — la suite a laissé tout le monde sans voix.

Cette nuit-là, elle dormit à peine. Ses pensées tournaient autour de la cruauté de son père, de l’amour de Yusha et de l’inconnu terrifiant qui l’attendait. Au matin, un carrosse royal s’arrêta devant la hutte. Des gardes vêtus de noir et d’or s’inclinèrent devant Yusha et Zainab lorsqu’ils en descendirent. Zainab se cramponna au bras de Yusha lorsque le carrosse se mit en route vers le palais.

À leur arrivée, une foule s’était déjà rassemblée. On s’étonna du retour du prince disparu, et plus encore de le voir avec une jeune femme aveugle. La mère de Yusha, la reine, s’avança, les yeux plissés en détaillant Zainab. Celle-ci s’inclina avec respect. Yusha se posta à ses côtés et déclara : « Voici mon épouse, la femme que j’ai choisie, celle qui a vu mon âme quand personne d’autre ne le pouvait. »

La reine garda le silence un instant, puis s’avança pour étreindre Zainab. « Alors, elle est ma fille, » dit-elle. Zainab faillit défaillir de soulagement. Yusha pressa sa main et lui murmura : « Je te l’avais dit, tu es en sécurité. »

Le soir, installés dans leurs appartements, Zainab se tint près de la fenêtre, à l’écoute des bruits du palais. Toute sa vie avait basculé en une journée. Elle n’était plus « cette chose » enfermée dans une pièce sombre. Elle était une épouse, une princesse, une femme qu’on avait aimée non pour son corps ni sa beauté, mais pour son âme. Et pourtant, dans ce moment de paix, une ombre demeurait : la haine de son père. Elle savait que le monde ne l’accepterait pas facilement, que la cour chuchoterait et se moquerait de sa cécité, et que des ennemis surgiraient entre les murs du palais. Mais, pour la première fois, elle ne se sentait plus petite. Elle se sentait puissante.

Le lendemain matin, on la convoqua à la cour, où s’étaient réunis nobles et dignitaires. Certains ricanaient lorsqu’elle entra au bras de Yusha, mais elle garda la tête haute. Puis survint l’imprévu. Yusha se plaça devant eux et déclara : « Je ne serai pas couronné tant que mon épouse ne sera pas acceptée et honorée dans ce palais. Et si elle ne l’est pas, je partirai avec elle. »

Des murmures parcoururent la salle. Zainab sentit son cœur battre à tout rompre en le regardant. Il avait déjà tout donné pour elle. « Renoncerais-tu au trône pour moi ? » chuchota-t-elle.

Il plongea dans sa direction un regard d’une ardeur farouche. « Je l’ai déjà fait une fois. Je le referais. »

La reine se leva. « Qu’il soit su que, dès aujourd’hui, Zainab n’est pas seulement ton épouse. Elle est la princesse Zainab de la Maison royale. Quiconque la manque de respect manque de respect à la Couronne. »

À ces mots, la salle se tut. Le cœur de Zainab battait encore, mais ce n’était plus la peur : c’était la force. Elle savait que sa vie changerait, mais désormais selon ses propres termes. Elle ne serait plus une ombre : elle serait une femme qui avait trouvé sa place dans le monde. Et le plus beau, c’est que, pour la première fois, elle n’avait pas besoin d’être vue pour sa beauté — seulement pour l’amour qu’elle portait dans son cœur.

 

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