Comment ça marche : : le contexte du premier record de vitesse
C’est dans ce climat d’émulation technique et sportive qu’en 1898, le magazine France Automobile organisa un concours inédit. L’une des épreuves consistait explicitement à parcourir une distance donnée en un minimum de temps, autrement dit à aller le plus vite possible. Si certains pilotes avaient probablement déjà tenté ce type de performance de manière informelle, ce concours offrait pour la première fois un cadre officiel permettant un suivi précis et une homologation des résultats.
Plusieurs pilotes relevèrent le défi, parmi lesquels figurait le comte Gaston de Chasseloup-Laubat (1866-1903). Issu de l’aristocratie française et fils d’un ministre de Napoléon III, il s’était passionné très tôt pour l’automobile naissante, à l’image de nombreux membres de l’élite de son époque. Cette passion ne se limitait pas à un intérêt théorique, puisqu’il participa activement au développement du sport automobile.
En 1895, il contribua notamment à la fondation de l’Automobile Club de France (ACF), institution majeure dans l’organisation et la reconnaissance des compétitions automobiles. Il prit également part à plusieurs courses importantes :
- la Paris-Bordeaux-Paris en 1895,
- la Paris-Marseille-Paris en 1896,
- et la Marseille-Nice-La Turbie en 1897, qu’il remporta.
L’étape entre Nice et La Turbie est restée dans l’histoire comme la première course de côte, soulignant déjà l’intérêt porté aux performances en conditions variées. À la veille de sa tentative de record, Chasseloup-Laubat était donc un pilote expérimenté, familier des défis techniques et mécaniques.
Le 18 décembre 1898, il s’élança sur une distance d’un kilomètre au volant d’une Jeantaud, souvent considérée comme la toute première automobile électrique. Il atteignit alors la vitesse de 63,15 km/h, un chiffre impressionnant pour l’époque, et établit ainsi le premier record de vitesse terrestre officiellement reconnu.


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